Pigeon
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Encore et encore on n'est pas sorti de l'auberge (engrenage)

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Encore et encore on n'est pas  sorti de  l'auberge (engrenage) Empty Encore et encore on n'est pas sorti de l'auberge (engrenage)

Message  senko Jeu 19 Mar - 21:18

La régionalisation du sport colombophile sera finalement plus difficile qu'elle n'en avait l'air
Depuis le 1er juillet 2014 et la 6e réforme de l'état, de nombreuses compétences fédérales ont été transférées aux régions et aux communautés. Cela a également des répercussions sur le sport colombophile.
D'abord un peu d'histoire avant de commencer ce reportage. La 6e réforme de l'état a été abordée pour la première fois en octobre 2011. Comme d'habitude, il a fallu un peu de temps pour que les nouveaux accords soient compatibles avec les textes juridiques. Depuis le 1er juillet 2014, cette réforme est en vigueur même s'il a encore fallu prévoir une période de transition qui a pris fin le 1er janvier 2015, et ce pour s'adapter à la réalité du terrain. En conséquence, les régions disposent désormais de pouvoirs étendus ainsi que d'une plus grande autonomie. Le bien-être animal est l'une des compétences ayant été transférée aux régions. Et comme vous vous en doutez, le sport colombophile relève du bien-être animal et devient donc une compétence régionale.
Etant donné que notre sport colombophile dispose encore d'une dimension nationale, il était important d'accorder les violons ensemble afin d'être sur la même longueur d'onde mais surtout de ne pas pratiquer une colombophilie à 2 vitesses à cause de différence dans les règlements entre la Flandre, la Wallonie et la région de Bruxelles.
En Wallonie, les mandataires ont entretemps décidé de s'organiser en créant une aile wallonne ayant depuis pris la forme de l'AWC (Association Wallonne Colombophile). Au sein de la RFCB et du côté flamand, cela a été perçu comme une tentative de scission vis-à-vis de la RFCB. 'Faux', expliqua Bernard Chapelle, attaché de presse et membre de l'AWC. L'AWC n'a aucune volonté de séparatisme - comme en témoignent d'ailleurs ses statuts (qui ont depuis lors été publiés au moniteur belge) - mais elle est le résultat d'une obligation légale imposée par cette fameuse 6e réforme de l'état. L'AWC a ainsi pour mission de défendre les intérêts des amateurs wallons vis-à-vis de la RFCB qui restera d'ailleurs l'organisation suprême.
D'après le président du comité sportif national, Dirk Schreel, il n'y a aucune obligation de former une aile flamande au sein de la fédération nationale.

Des groupes de travail pour préparer la régionalisation
Lors de l'Assemblée Générale de la RFCB qui s'est tenue en octobre 2014, la décision fut prise de former 6 groupes de travail chargés de commencer à organiser la future régionalisation du sport colombophile sur le plan juridique, sportif et financier mais aussi au niveau du doping, des statuts et des règlements. Petite précision: les groupes de travail ne sont que des organismes de conseils mais ils ne disposent d'aucun pouvoir de décision! Le but était de faire en sorte que les différents groupes de travail mis sur pied entre l'AG d'octobre 2014 et celle du 25 février 2015 se mettent à table ensemble avant de conseiller la RFCB.
Les mandataires wallons demandèrent alors à ce que ces fameux groupes de travail soient composés du même nombre de flamands et de wallons (il a été convenu de créer des groupes de 10 personnes, soit 5 flamands et 5 wallons). Pas vraiment évident. Surtout du côté wallon apparemment. Pour la plupart des groupes de travail, le côté wallon n'aura trouvé que 2 à 3 représentants pour participer à ce débat. Avec pour résultat que, lors de l'AG du 25 février dernier, le seul groupe de travail à s'être réuni aura été celui chargé de travailler sur le côté sportif.
Dirk Schreel a admis qu'il n'était pas si facile pour le 'groupe de travail sportif' de se mêler de sujets qui figuraient encore à l'agenda du Comité Sportif National (CSN). Il a cependant regretté que certains conseils formulés par les groupes de travail aient été balayés de la main par les mêmes personnes siégeant au CSN. Cela concernait apparemment l'organisation - en guise de test - de 2 concours zonaux de grand demi-fond.
Des différences entre la Flandre et la Wallonie
La régionalisation du sport colombophile n'est finalement pas aussi simple que l'on ne l'aurait pensé. La plupart des régions dépendent de la régionalisation (en règle générale) sur base de l'arrêté royal de 1995. C'est probablement la manière la plus simple de procéder car autrement, il faudrait présenter de nouvelles propositions législatives ainsi qu'un nouvel arrêté royal. Le gros problème semble être la différence d'interprétation des textes dans les deux langues nationales, surtout en ce qui concerne la traduction de certains mots ou certains termes.
En outre, il y a aussi une approche différente de la colombophilie en fonction des régions. C'est ainsi qu'en Flandre, le sport colombophile dépend du bien-être animal et du transport tandis qu'en Wallonie, il en va de la responsabilité du ministère de l'agriculture... alors qu'à Bruxelles, il concerne le ministère de l'agriculture et du bien-être animal.
Lors des dernières AG, il y a eu de vives discussions entre le mandataire wallon Jean Delstanche et le président national Stefaan Van Bockstaele. D'après Jean Delstanche, les statuts de l'AWC ont entretemps été publiés au moniteur belge. Et d'après ces derniers, l'AWC se retrouve ainsi compétente en ce qui concerne l'organisation des concours, la gestion du calendrier, le transport des pigeons, la gestion des lieux de lâcher, la gestion des lâchers collectifs de pigeons (tant durant la semaine que pendant le week-end) ainsi que la gestion de la politique antidopage pour la Région Wallonne. Pour la problématique du dopage, l'AWC souhaite revenir au règlement en vigueur jusqu'en 2013 avec des analyses réalisées par le laboratoire Marloie. Des compétences qui relèvent en fait de la fédération nationale.
Apparemment, tous le monde n'avait pas la même idée sur la tournure des événements comme le prouve la réaction de madame Francine Lageot, mandataire wallonne de l'EPR de la province de Liège. Elle se demande aujourd'hui si elle a bien fait de signer certains documents. En tant que présidente de l'EPR de la province de Liège, elle a effectivement apposé sa signature au bas du document officiel de l'AWC, comme réclamé par la Région Wallonne, mais en aucun cas dans le but de se diriger vers une scission ou une séparation. D'après elle, les wallons ont bien réagi à l'initiative (note: encore faut-il savoir d'où ils sont) mais il n'y a encore aucune structure. Personne ne semble être totalement d'accord. Pour Mme Lageot, le sport colombophile concerne avant toute chose les pigeons et non pas… causer des problèmes aux autres. Nous devons rester unis pour penser au futur de notre hobby favori. Il est temps de mettre en place quelque chose de positif, de constructif et de concret pour notre sport et pour ses amateurs. Les Olympiades de 2017 constituent l'occasion idéale de mettre le sport colombophile belge en avant... et non pas un sport colombophile flamand et un autre wallon, ajouta Mme Lageot.
Le règlement doping de la RFCB doit être discuté et validé au sein même de la RFCB. S'il existe des règlements différents entre la Flandre et la Wallonie, alors nous ne pourrons tout simplement pas participer aux mêmes concours. Le règlement antidopage doit être validé au cours d'une AG, la loi est la même pour tout le monde… ajouta le président national.
Il souhaitait également recevoir plus d'informations à propos d'un décret en cours de constitution du côté wallon et qui suggèrerait de faire payer aux amateurs flamands participant aux concours de Quiévrain 1€ par pigeon enlogé. Si c'est le cas, c'est un autre gros problème qu'il faudra également surmonter, ajouta-t-il.
Le président Stefaan Van Bockstaele a également tenu à mettre les points sur les ‘i’ à propos du statut juridique de la RFCB. Petite explication: tant les régions flamandes, wallonnes et bruxelloises sont compétentes pour certaines choses mais le règlement national antidoping de l'organisation suprême (donc, la RFCB) reste souverain. La RFCB a élaboré un règlement antidoping en interne pour l'ensemble de ses membres. Ces derniers ont d'ailleurs inscrit la mention 'pour accord' en signant leur liste au colombier (à l'exception d'une dizaine d'amateurs qui, par conséquent, ne recevront pas de carte de membre pour la saison 2015). Les personnes qui n'ont pas inscrit cette mention sur leur liste ne peuvent donc pas être membre de la fédération (la RFCB) et donc... ne peuvent pas participer aux concours organisés par la fédération.
Jean Delstanche a annoncé que l'AWC n'avait pas encore approuvé le calendrier des concours nationaux. Le président Van Bockstaele a alors répliqué que les amateurs wallons ne pourraient donc pas participer aux concours nationaux.
De fait... les contrôles doping dépendent des éléments contenus dans le règlement antidoping du pays de l'organisateur. Tous les concours internationaux sont eux aussi organisés par des associations belges et c'est donc le règlement antidoping belge qui doit être en vigueur.

(note: Il serait quand même utile de se pencher sur la légitimité de cette décision. Il n’est pas normal qu’une petite dizaine de mandataires (dont on se demande même si certains jouent encore à pigeon…) prennent en otage l’ensemble des amateurs qu’ils sont censés représenter. Se passer des concours nationaux serait une catastrophe monumentale pour le sport colombophile BELGE et vouloir en arriver là, c’est tout simplement se moquer des gens qui ont investi (parfois lourdement) afin d’espérer pouvoir un jour accomplir leur rêve, celui de briller (remporter ?) sur les étapes nationales. Cette volonté d’aller au clash n’est absolument pas révélatrice de l’avis même des amateurs wallons (mais pour le savoir, encore faut-il vouloir le faire…) et cela causerait des dommages irréparables pour le futur du sport colombophile belge. Finalement, s’en soucient-ils réellement ? Un peu comme si les mandataires ‘frondeurs’ souhaitaient vouloir causer un maximum de dégâts avant d’emporter avec eux leur hobby dans leur tombe. Sauf que c’est aussi le notre …)

Le problème du doping: travailler avec une liste verte et une liste rouge
Le nouveau règlement doping a causé de nombreux remous au sein de notre hobby. Les messages de satisfaction du début ont rapidement laissé place à un vent de panique. Surtout lorsque certains amateurs se sont fait contrôler positivement et que les montants astronomiques des amendes ont été communiqués. Par après, on a même entendu parler de perquisitions menées par l'agence alimentaire au sein de domiciles à la recherche de substances pour lesquelles il est nécessaire que l'amateur tienne un cahier de charge.
Le 24 février, l'aile néerlandophone de la RFCB s'est réunie avec des gens du ministère et du bien-être animal. Les vétérinaires étaient également représentés par le Dr. Piet Blancke, le Dr. Ruben Lanckriet, le Dr. Pascal Lanneau… les autres personnes présentes étaient Marc Wijnendaele (représentant l'agence de contrôle alimentaire), Mr Van Tilburg (dopage et bien-être animal), Prof. Patrick De Backer (pharmacologue à l'Université de Gand), Sabine Vermeulen (parlementaire NVA), l'inspecteur Lodemans (FAVV), le Dr. Van den Eynde (son fils est colombophile et n'a pas signé sa liste au colombier) tandis que les représentants de la RFCB n'étaient autres que Stefaan Van Bockstaele, Dirk Schreel et Geert Philips. D'après les personnes présentes, cette réunion aura été très constructive.
Le ministère a demandé des explications à propos du nombre de paniers par camion, du nombre de pigeons dans chaque panier et ainsi de suite… en bref, des questions relatives aux directives qui doivent être respectées sur le plan fédéral.
Bien sûr, le sujet qui intéresse le plus les amateurs pour le moment, c'est celui du doping. Que peut-on faire... et que ne peut-on pas faire? Les vétérinaires ont donné leur point de vue sur cette problématique et ont directement sollicité les personnes présentes pour former 8 groupes de travail chargés d'émettre une liste de substances interdites qui seront reprises dans le réglement doping.
D'après les mandataires wallons, le laboratoire sud africain n'est pas représentatif des analyses doping. Les substances (interdites) retrouvées durant l'analyse du laboratoire sont affichées en pourcentage et non par quantités retrouvées dans les substances.
D'après le président Stefaan Van Bockstaele, le laboratoire sud africain est pourtant bel et bien en ordre. L'organisation 'Beltest' (Organisation-accréditation belge pour les tests en laboratoire) a réalisé plusieurs tests dans différents laboratoires afin de vérifier si les machines sont efficaces. Et au final, seul le laboratoire d'Utrecht présentait les mêmes compétences que le laboratoire sud africain. Cela nous a d'ailleurs été prouvé par un exemple qui ne pouvait cependant pas être présenté dans cet article (à la demande du président national).
Pour rappel, le Dr Schalck (chef du laboratoire d'Afrique du Sud) dispose de nombreuses années d'expérience d'analyses doping au sein du milieu colombophile (et donc pas seulement dans le milieu équestre comme certains souhaitaient nous le laisser entendre). Il travaille avec des 'niveaux' qui ne peuvent pas être rendus publics. Pourquoi? C'est évident si l'on se remémore un exemple passé avec l'utilisation de corticostéroïdes. Les laboratoires belges travaillent avec le 'niveau 5’… un niveau qui tolère la présence de cortisone dans l'organisme. Ceux testés en dessous de ce niveau 5 sont déclarés négatifs tandis que ceux testés au-dessus sont considérés comme ayant eu recours à une utilisation abusive de cortisone, donc un dosage supérieur à la moyenne en vue d'augmenter la performance des pigeons.
Qu'en est-il donc des contrôles réalisés dans notre pays? Dans de nombreux échantillons de fientes, il apparaît que la plupart des amateurs se trouvent à un niveau de 4,8 à 4,9. Donc bien en-dessous du seuil de tolérance. Il apparaît qu'en fait, certains amateurs commanditaient volontairement des analyses au sein même des laboratoires belges… afin de notamment savoir jusqu'où ils pouvaient aller dans l'administration de produits interdits pour veiller à toujours rester 'négatifs'.
Mais dans le contrat signé avec le laboratoire sud africain, il est stipulé qu'aucun amateur belge ne peut commanditer de son propre chef des analyses à ce laboratoire. Une clause pas si inutile que ça car il y a déjà eu des demandes d'analyses émanant de notre pays! On sait déjà pourquoi…

Dirk Schreel ajouta alors en réponse aux mandataires wallons que le laboratoire sud africain est bel et bien accrédité. A l'occasion des récentes Olympiades de Budapest, ce dernier s'est retrouvé à table avec tous les membres de la FCI. Au fil de la discussion, ces derniers affirmèrent que d'après eux, ils n'existaient actuellement que deux laboratoires réellement efficaces en ce qui concerne les analyses spécifiquement effectuées sur les pigeons. Celui d'Afrique du Sud et celui d'Utrecht!
Le professeur Patrick De Backer ajouta également que la RFCB souhaitait 'bien faire' en matière de lutte contre le dopage et que les résultats obtenus par le professeur Schalk étaient très positifs. La FCI a d'ailleurs déjà dépensé plus de 25.000€ pour mener à bien des études sur certaines substances. Grâce à ces études, on peux désormais savoir en quelle quantité sont présentes normalement certaines substances dans l'organisme mais aussi s'il est possible d'augmenter leur niveau grâce à l'alimentation. Un niveau de référence peut ainsi être déterminé. Si les analyses d'un pigeon démontrent qu'il est au-dessus de ce niveau, alors on applique la tolérance zéro.
Les analyses relatives à la présence de caféine dans l'organisme en sont un exemple. Au total, plus de 10.000 tests ont été réalisés par rapport à la présence de caféine dans l'organisme des pigeons mais aussi sur l'influence de la caféïne sur les prestations des pigeons. La conclusion finale révèle qu'il y a bien une 'influence' à partir d'un certain 'niveau'. La caféine n'est donc pas aussi 'innocente' que l'on pourrait le penser. De fait, il y a quelques années lors d'un concours de demi-fond organisé en province d'Anvers, pas moins de 16 pigeons furent retrouvés morts dans les paniers. Au final, il s'est avéré que ces pigeons provenaient tous de la même colonie. L'amateur en question avait administré des pilules de caféine à ses pigeons, pilules qui étaient également utilisées dans le milieu du football professionnel. Au final, les pigeons sont morts suite à une overdose. Cela n'a donc rien de nouveau!
A la demande des vétérinaires, une liste verte et une liste rouge de différentes substances sera bientôt élaborée afin que les amateurs puissent savoir s'ils peuvent utiliser telle ou telle substance. Ces listes seront ajoutées à la règlementation dopage ainsi que la définition de 8 groupes de substances interdites, afin de rendre la tâche plus facile pour les vétérinaires. Définir une liste complète des produits interdits est tout simplement impossible car chaque année, ce ne sont pas moins de 200 nouveaux produits qui sont commercialisés sur le marché. Ces derniers ne pourraient pas se retrouver instantanément sur la liste et cela pourrait causer la confusion chez les amateurs. Tout comme sur le marché noir ainsi que sur internet, il existe de nombreux produits dont la composition exacte n'est pas connue.
Les amateurs souhaitent disposer de plus de clarté
Tant Christian Goulem du côté wallon que Mark De Backer du côté flamand ont souligné l'inquiétude des amateurs car il existe encore beaucoup d'inconnues à ce sujet. Pourtant, la réponse est à la fois simple et logique. Celui qui souhaite s'adonner à un sport/hobby en visant les performances le fait sous la houlette d'un spécialiste (médecin du sport ou, dans notre cas, un vétérinaire). Les amateurs devraient donc contacter un vétérinaire spécialisé car ces derniers savent ce qui est interdit et ce qui ne l'est pas. Celui qui s'improvise vétérinaire ou pharmacien du jour au lendemain le fait à ses propres risques et se doit d'en accepter les conséquences.
Dans les prochaines semaines, la saison 2015 battra son plein. Les amateurs veulent savoir à quoi s'attendre. Que peut-on faire, que ne peut-on pas faire? Doivent-ils tenir une sorte de 'journal sanitaire' - avec références des médicaments administrés, vaccinations, etc … - ou pas? La seule solution à ce sujet semble être de devoir retirer le pigeon de la chaîne alimentaire et le classer dans une catégorie distincte, celle du 'pigeon voyageur'. A ce sujet, nous en sommes déjà à 18 mois de travail et cela pourrait encore prendre un certain temps avant d'obtenir une législation appropriée et la faire approuver. Nous pourrons alors définitivement tirer une croix sur ce problème mais nous devrions alors faire face à une augmentation de certains prix sous la forme d'une hausse de la TVA (et passer de 6% à 21%) qui concernerait certains produits utilisés fréquemment dans le milieu colombophile. Les négociations sont toujours en cours, il n'y a encore rien d'officiel.
Vous avez encore des doutes ? Un bon conseil: jouez la carte de la sécurité. Rendez-vous chez un vétérinaire spécialisé et suivez ses conseils. Il vous mettra sur la bonne voie car c'est un professionnel qui connait son métier. Pour le reste, continuez à profiter de votre hobby favori ... le sport colombophile!
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Encore et encore on n'est pas  sorti de  l'auberge (engrenage) Empty Re: Encore et encore on n'est pas sorti de l'auberge (engrenage)

Message  Mars Mer 25 Mar - 22:03

Certains sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis... Lire les articles d'Hilaire et de JP dont les liens se trouvent sur la colombophilie HO

Mars

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